“The Carlos Kleiber of the piano” Fanfare Magazine
Lauréat du prix du jury "Raymond E. Buck" au concours international de piano Van Cliburn 2017, Leonardo Pierdomenico est décrit comme « un pianiste dont la technique très développée et l’exigence sonore se conjuguent avec une imagination et une profonde musicalité. » ( Patrick Rucker, Gramophone UK).
Il joue en soliste avec des orchestres tels que le Fort Worth Symphony, l’Orchestre Royal De Chambre de Wallonie, Teatro La Fenice Symphony Orchestra, LaVerdi Orchestra à Milan, Nordwestdeutsche Philharmonie, Wuhan Philharmonic Orchestra, North Czech Philharmonic et avec des chefs comme Yves Abel, Diego Matheuz, Nicholas McGegan, James P. Liu et Jan Kucera, entre autres.
Leonardo est régulièrement invité dans les plus importantes salles de concert et festivals italiens et internationaux, notamment : Sala Verdi du Conservatoire et Teatro alla Scala à Milan, Teatro La Fenice à Venise, Salle Molière à Lyon, Maison de la radio à Paris, Festivals Chopin à Paris et à Nohant, Auditorium Parco della Musica à Rome, Filharmonia Narodowa à Varsovie, Flagey à Bruxelles, Liszt Festival à Utrecht, Bass Hall à Fort Worth (TX), Merkin concert hall à New York, Qin’tai Concert Hall à Wuhan , Festival de Bologne, salle de concert Fazioli.
Parmi les temps forts de la saison 23-24, on note, une série de récitals à Londres, l’interprétation du concerto n°2 de Rachmaninov avec l’Ensemble Colibri ainsi que le concerto n°5 de Beethoven " l’Empereur" à l’Opéra de Toulon en avril 24.
Leonardo a enregistré quatre albums avec le label Piano Classics dont le dernier en date inclus le concerto pour piano de Dvorak. Son premier album, consacré aux œuvres de Liszt, lui a valu un Editor’s Choice du magazine Gramophone UK et une nomination pour l’enregistrement de l’année au Preis der Deutschen Schallplattenkritik.
Son album Winterreise sorti en 2023 a été selectionné par la revue International Piano Magazine
Né dans les Abruzzes, en Italie, Leonardo a étudié au Conservatoire de Pescara et a obtenu en 2017 le master de piano avec mention à l’Accademia di S. Cecilia de Rome dans la classe du M° Benedetto Lupo.
Au cours de ses études, il a travaillé avec Jeremy Denk, Jean-Yves Thibaudet, Jerome Lowenthal, Julian Martin et Leon Fleisher,et Alessandro Deljavan.
Il est actuellement étudiant à l’Académie Internationale de Piano du Lac de Côme.
Leonardo joue régulièrement en duo avec la violoncelliste Erica Piccotti.
Agenda complet :
https://leonardopierdomenicopiano.com/events/
Le Pianiste italien Leonardo Pierdomenico tient dans ses mains, fermement arrimées au clavier, son grand sceptre noir d’Empereur. Droiture et élégance sont attachées à sa posture. Il fait de grands gestes en arrière, comme pour regagner son point d’équilibre, lorsqu’il laisse la parole au tutti.Le son, dans la cadence initiale, est profond et ne s’évapore pas dans les nuées d’arpèges.Il y a un certain panache dans sa manière d’attaquer la note finale d’un solo, au point de dénouement de la cadence, quelques nanosecondes avant l’orchestre. Les traits sont martelés en percussionniste, tandis que gammes, arpèges et passages modulants sont clairement enchâssées dans ce métal en fusion.
Le piano de Leonardo Pierdomenico comporte aussi ses moments de demi-teinte, lorsqu’il pose la première note de son trille, avec une simplicité d’hirondelle, puis le promène, avançant de plus en plus vite, pour le quitter avec un toucher plus léger. Il donne à ces moments d’apesanteur chers à Beethoven, le miroitement intérieur d’un luxueux poudrier, ce petit lac d’argent tenu dans le creux de la main élégante. Le pianiste met parfois un peu de flou dans l’arrivée et le redépart d’un trait, angles de la musique qu’il cherche peut-être à arrondir, faisant appel à son toucher-signature, aérien et cotonneux. L’orchestre met alors ses patins de feutrine ou laisse s’échapper des alliages grésillant. La texture est faite de fumerolles, de braises sous la cendre : fanfares furtives, travail à la lisière du son, notamment dans la longue marche funèbre de l’Eroica, dont la lumière et les tréfonds se déterminent mutuellement.
Florence Lethurgez, Classikeo ( à propos du concert Beethoven ( 5 ème concerto) avec l’orchestre de Toulon le 18/04/24
Il y a là beaucoup d’émotion, mais aussi une extrême légèreté, dans laquelle s’inscrit Pierdomenico avec ses motifs rythmiques typiques et ses arcs mélodiques merveilleusement emphatiques et magnifiquement chantés.
Le quatrième enregistrement du jeune pianiste italien chez Piano Classics est brillamment réussi.
CD Concerto pour Piano d’Anton Dvorak
Czech Chamber Philharmonic Pardubice, dir : Vahan Mardirossian
Helmut Peters, Piano News ( Allemagne)/ interprétation 6/6
“The Carlos Kleiber of the piano”
Fanfare Magazine ( Beethoven/Liszt Symphony 5 and the Beethoven/Alkan 3rd Piano Concerto (PCL 10224)
Die Nordwestdeutsche Philharmonie und der italienische Pianist Leonardo Pierdomenico bringen das Publikum mit Mozart zum Schwärmen.
..."Kein Zweifel : Leonardo Pierdomenico am Flügel ist das absolute Herzstück in der Gunst des Publikums. Überhaupt nicht aufdringlich und auf Effekte heischend spielt der junge Pianist das Klavierkonzert zum Dahinschmelzen. So mancher Gast genießt das emotionale Erlebnis mit geschlossenen Augen.
"Welchem Schwierigkeitsgrad er gewachsen ist, beweist Pierdomenico, als er den jubelnden Applaus mit einer Zugabe quittiert und dafür Frederic Chopins Etüde in C-Dur op. 10, Nr. 1 auswählt : Ein absolut schwindelerregender Wasserfall, mit dem er den Konzertgästen einen weiteren Höhepunkt serviert." Elke Niedringhaus-Haasper, Neue Westfälische 2019.
(...)His interesting programme spans Liszt’s career, with the early La romanesca composed in Paris, the Scherzo and March and two Ballades from the Weimar years, the St Francis Legends from 1860s Rome and the late Csárdás macabre from Budapest. Would that half the seasoned Lisztians I know had Pierdomenico’s keen ear for stylistic differentiation within this half-century of repertory. His highly developed technique and cultivated sound, both adaptable to a variety of affects, are wedded to those twin essentials for artistic Liszt-playing : imagination combined with thoroughgoing, scrupulous musicality.
His prodigious prestissimo leggiero, the ability to play extremely fast yet lightly, lends his Scherzo and March and Csárdás macabre quicksilver speed and tremendous power that never devolves into banging. His fioritura, that delicate filigree enhancement of melody used by Liszt and Chopin, envelops the D flat Ballade (No 1) with sensual charm and imbues ‘St Francis’s Sermon to the Birds’ with shimmering colours. La romanesca speaks with the chasteness of a Bartók folk-song transcription, maintaining its rustic simplicity through successive elaborations and embellishment. The exalted sound-painting of ‘St Francis Walking on the Waves’ is realised by Pierdomenico’s mastery of the ‘crescendo within crescendo’ effect, the scarcely perceptible pulling back at critical moments in an ostensibly seamless sound trajectory, unleashing huge volumes of sound that never exceed the resources of the piano. The B minor Ballade (No 2) occupies a vast canvas, though Pierdomenico avoids the overstated or melodramatic, opting instead for a heartfelt earnestness that creates a perfect symbiosis of the heroic and lyrical.
On the basis of his Liszt alone – and one may hear him in other repertoire on YouTube – I don’t hesitate to suggest that Pierdomenico is a musician of rare sensitivity and vision, and that following his further development will be a pleasure.
Patrick Rucker ( Gramophone)
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Isabelle Raché Chappellier
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